La prise de conscience écologique des mouvements féministes africains est en hausse. Premières victimes des dérèglements climatiques induits par le capitalisme transnational, les femmes africaines sont aussi aux premières loges des effets des politiques « vertes » menées par le Nord global, dont l’extraction de minerais pour technologies « propres ». L’écoféminisme promeut dès lors des alternatives endogènes, justes et égalitaires.
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud
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